Premier investissement en Albanie

Au cour du 1er semestre 2024, la Fondation a décidé d’intervenir pour la première fois en Albanie pour soutenir l’institution de microfinance Noa basée en Albanie.

La Fondation a accordé un premier financement à Noa, pour un montant équivalent à 2 millions d’euros sur une période de trois ans, contribuant ainsi à stimuler le développement économique et social en Albanie.

Noa a été créée en 1998 et la mission est de fournir des services financiers et non financiers complets aux entrepreneurs, agriculteurs et ménages albanais.

 

La Fondation rejoint le « 2X Challenge » et s’engage pour l’égalité des genres dans l’investissement social

Dans le plan stratégique “Ambitions 2025“, l’inclusion des femmes est une priorité stratégique.  La Fondation réaffirme sa mission sociale, celle de contribuer à la lutte contre la pauvreté et les inégalités par l’inclusion financière particulièrement des femmes et en zone rurale dans les pays parmi les plus fragiles. Les plus souvent exclues du système bancaire, les femmes en milieu rural représentent pourtant une force économique pour l’ensemble de l’économie locale et des parties prenantes de leur communauté.

Ce focus sur les femmes s’est concrétisé en Mars 2024, avec la qualification de la Fondation au Défi 2x, qui s’engage officiellement, sur la base de 3 critères, en faveur de l’autonomisation économique des femmes, une mission centrale au cœur de son action:

Gouvernance : Le comité de direction de la Fondation GCA est composé à 40% de femmes (2/5) et le conseil d’administration est composé de 33% de femmes (4/12).

Emploi : La Fondation dispose de 55% de femmes parmi les 20 collaborateurs directs. Ils disposent par ailleurs de politiques et procédures visant à favoriser l’égalité de genre, dont notamment une politique de contribution aux frais de garde d’enfants ainsi qu’une grille d’échelle salariale transparente, accessible et diffusée à tous les salariés.

Portefeuille: 71% des investissements de la Fondation respectent au moins 1 des critères du 2X Challenge.

Cette initiative internationale vise à promouvoir l’égalité des genres, l’entrepreneuriat féminin et soutenir la réduction des inégalités grâce à l’inclusion financière.

Le 2X Challenge, lancé en 2018 a rallié plusieurs institutions financières internationales, qui ont renforcé leur engagement en matière d’investissement en faveur de l’égalité de genre pour favoriser l’accès des femmes à des emplois de qualité, ainsi qu’à des opportunités de financement.

NOBIN : une nouvelle initiative pour soutenir l’entrepreneuriat des femmes au Sénégal

Le 20 mars 2024, un partenariat a été officiellement signé entre la Fondation, la Grameen Trust et Yunus France. Cette collaboration marque le début d’un programme innovant nommé NOBIN, visant à soutenir l’entrepreneuriat des femmes au Sénégal, qui a déjà fait ses preuves au Bangladesh par la Grameen Trust.

Cette signature a eu lien en présence de Véronique Faujour, Déléguée Générale de la Fondation Grameen Crédit Agricole, le Professeur Muhammad Yunus, membre du conseil d’administration de la Fondation Grameen Crédit Agricole et président de la Grameen Trust, ainsi que Yoan Noguier, directeur de Yunus France.

NOBIN, lancé en 2013 au Bangladesh, est un programme novateur qui offre une nouvelle façon de financer les femmes et les jeunes entrepreneurs avec un accompagnement et un mentorat personnalisés. Actuellement déployé à Dakar, Sénégal, auprès de 2 500 personnes dans des quartiers populaires, NOBIN vise à accélérer la création de 250 entreprises sur une période de 3 ans, permettant ainsi à des femmes n’ayant pas accès aux services financiers de concrétiser leurs projets d’entreprise.

La Fondation s’engage pleinement dans cette initiative en investissant 500 000€ dans le projet, avec pour objectif de créer un mécanisme de financement pérenne et de déployer NOBIN à plus grande échelle au Sénégal au cours des 3 prochaines années.

Cette initiative d’entrepreneuriat social permet à des femmes qui n’ont pas accès aux services financiers, de donner vie à leur idée, d’accélérer le lancement de leur entreprise et ainsi d’accéder à l’économie formelle.

Cette nouvelle collaboration s’inscrit parfaitement dans les objectifs Ambitions 2025 de la Fondation, qui visent à innover pour accompagner les femmes et les jeunes vulnérables, tout en renforçant les partenariats pour amplifier ses actions.

Lire ici le communiqué de presse

Nouveau partenariat au Bénin avec UNACREP

Poursuite des financements de la Fondation en Afrique Subsaharienne au 1er semestre 2024 avec l’accord d’un premier prêt pour un montant en monnaie locale équivalent à 1,5 millions d’Euros à l’institution de microfinance UNACREP « Union Nationale des Caisses Rurales d’Epargne et de Prêts au Bénin, sur une période de trois ans. La Fondation compte actuellement quatre autres partenaires au Bénin.

UNACREP est une institution de microfinance, créée en 1992 par l’ONG Sasakawa / Global 2000, qui a pour mission d’être le principal partenaire financier des entrepreneurs agricoles au Bénin. Parmi les 21 063 clients, plus de 50 % du portefeuille de prêts est consacré aux entrepreneurs agricoles, actifs dans toutes les fonctions de la chaîne de valeur. 40 % des clients sont des femmes, principalement actives dans la transformation et la vente de produits agricoles. UNACREP fournit également des prêts productifs aux micro-entrepreneurs actifs dans le secteur du commerce et des prêts à la consommation aux fonctionnaires. Les clients empruntent individuellement (plus de 60%) ou organisés en groupes et coopératives.

Avec ce nouveau prêt, la Fondation renforce sa présence en Afrique Subsaharienne, qui représente 30 % de l’encours total suivi par la Fondation à fin Mars 2024.

Pour en savoir plus sur nos partenaires, cliquez ici.

Rencontre avec Muhammad Yunus, Prix Nobel de la paix et cofondateur de la Fondation

Lors de son passage à Paris le 14 mai 2024, Muhammad Yunus, membre du Conseil d’administration de la Fondation et président de la Grameen Trust, a été accueilli par Véronique Faujour, Déléguée générale de la Fondation Grameen Crédit Agricole pour discuter de l’inclusion financière et de l’entrepreneuriat social.

Au cours de cet entretien, Muhammad Yunus a rappelé la crise alimentaire qui a touché le Bangladesh dans les années 1970. Il a expliqué comment de petits prêts accordés à des villageois proches de l’université où il enseignait ont posé les bases de la micro-finance. Il a souligné l’importance de cibler les femmes, souvent exclues des systèmes financiers traditionnels mais dotées de solides capacités entrepreneuriales.

Dans le contexte actuel de disparités économiques et de défis environnementaux, Yunus a présenté son modèle économique basé sur trois objectifs : zéro pauvreté, zéro chômage, et zéro émissions nettes de carbone.

Il a également évoqué le programme NOBIN, qui finance l’entrepreneuriat des femmes et des jeunes. Ce programme, ayant fait ses preuves au Bangladesh, est soutenu par la Fondation  au Sénégal. Il vise à permettre aux femmes d’accéder aux services financiers pour lancer et développer leurs entreprises, intégrant ainsi l’économie formelle.

PREMIER INVESTISSEMENT EN OUZBEKISTAN POUR RENFORCER L’ENTREPRENEURIAT RURAL

 

En septembre 2023, la Fondation a franchi une nouvelle étape significative en investissant pour la première fois dans un nouveau pays : l’Ouzbékistan, situé en Asie centrale. Un premier prêt a été accordé en monnaie locale de 1 million d’Euros à l’institution de microfinance Renesans.

La Fondation a choisi d’intervenir en Ouzbékistan car le pays bénéficie d’une stabilité sociale et économique relativement importante. Une grande partie de la population reste sous-bancarisée et le niveau de vie de la population reste relativement faible malgré l’abondance des ressources naturelles et la solidité du secteur agricole.

Ce soutien à Renesans approfondit la présence de la Fondation en Asie Centrale, avec actuellement 10 partenaires soutenus au Tajikistan, Kazakhstan, Kirghizstan et Géorgie. Renesans a été créée en 2007 avec la mission de fournir des services financiers accessibles aux  femmes entrepreneures et aux travailleurs indépendants dans les régions rurales. Son ambition est de devenir une institution leader dans le domaine de la microfinance dans toutes les régions du pays.

L’IMF opère principalement dans la région de Tashkent au nord-est du pays et dans le Karakalpastan, au nord-ouest, mais vise à se développer rapidement pour couvrir toutes les régions du pays grâce à un réseau de 10 succursales et 103 employés.

A ce jour, l’institution compte près de 7 195 clients, dont 54% sont des femmes, et opère principalement dans les zones rurales, représentant 76% de sa clientèle.

Le financement de la Fondation permettra à Renesans d’accorder des prêts à plusieurs petits entrepreneurs, favorisant la croissance économique du pays.

Nos ambitions stratégiques 2025

Face au boom du digital dans les pays émergeants et le dérèglement climatique impactant directement les clients de la microfinance, la Fondation publie son plan stratégique 2025 qui ancre ses ambitions autour de trois verbes d’action prioritaires pour accélérer son action: Renforcer, Innover et coopérer.

La feuille de route est claire : Conjuguer inclusion financière et promotion d’une économie trois zéros : zéro Carbone, zéro Exclusion, zéro Pauvreté.

Le positionnement est unique : Promouvoir l’entrepreneuriat des plus vulnérables, en priorité des femmes en milieu rural, dans les territoires les moins préparés au dérèglement climatique, par la microfinance et les entreprises à impact.

Ambitions 2025 : Renforcer l’accompagnement des partenaires et l’impact de nos actions, innover pour permettre aux agricultures rurales de réussir leur adaptation climatique et mieux accompagner les plus vulnérables, les femmes, les jeunes et les réfugiés, coopérer pour amplifier notre action.

L’équipe et la gouvernance de la Fondation sont mobilisées. L’atteinte ces Ambitions 2025 repose sur l’excellence opérationnelle dans nos modes de fonctionnement et dans notre organisation : Viser l’excellence opérationnelle et une efficience constante dans nos modes de fonctionnement et d’organisation : avec la présence d’une gouvernance solide et des processus d’investissements revus, plus efficaces. Acquérir des expertises fortes dans les domaines agricole et agro-alimentaire, face aux changements climatiques : avec la formation des collaborateurs à de nouvelles compétences.

ACEP Cameroun célèbre son 25ème anniversaire !

ACEP Cameroun célèbre ses 25 ans !

En partenariat avec la Fondation depuis 2017, ACEP Cameroun est devenue une institution de référence dans le domaine de la microfinance au Cameroun grâce à un réseau de 27 agences dans 6 régions au Cameroun, avec 382 employés. Sa mission est d’accompagner le développement des Très Petites Entreprises (TPE) dans les centres urbains du pays. Depuis 25 ans, ACEP Cameroun milite pour l’amélioration de l’économie camerounaise.

Outre ces 6 régions ACEP Cameroun compte aussi s’étendre dans les autres régions Nord -ouest, Sud-Ouest dans les années à venir.

Le directeur général adjoint, Christian ANGUIN, s’est dit heureux de célébrer les 25 années d’ACEP Cameroun avec ses nombreux partenaires, administrateurs, clients : « Nous avons accomplis notre mission au Cameroun de façon globale, avec création d’emplois et financement des projets. »

A ce jour, l’institution compte environ 14 970 clients dont 24% de bénéficiaires ruraux et gère un portefeuille de 44M d’euros (28 851 680 000 de francs CFA).

Un partenariat durable entre la Fondation et ACEP Cameroun : depuis 2017, 2 prêts ont été accordés d’un montant total de 4M€, 2 missions d’Assistance technique ont été menées et une approche de conseil global focalisé sur la transformation digitale du groupe ACEP.

Nous avons pu rencontrer le Directeur Général de ACEP Cameroun

En 2022, la Fondation, a été sollicitée par ACEP Conseil dans le cadre de leur plan de transformation digitale. Un programme de 10,6 millions d’euros, dont 6,3 millions sont cofinancés par leurs filiales et 4,2 millions, dont la recherche est confiée à la Fondation. Concrètement, il s’agit d’accompagner le groupe dans leur recherche de fonds et coordonner les fonds levés afin de faciliter la mise en place de ce projet de transformation digitale de leurs filiales.

Au cours de notre partenariat, nous avons pu rencontrer le Directeur général de ACEP Conseil :

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Intervention de Philippe Guichandut lors de la conférence “L’assurance comme créateur de valeur pour les IMF” lors de la EMW 2023

Philippe Guichandut, Secrétaire Général de la Fondation est intervenu lors de la Semaine Européenne de la Microfinance 2023 (EMW 2023).

Le 17 novembre, cette session a mis en évidence les facteurs de succès et les défis de l’inclusion de l’assurance agricole par les IMF soutenues par la Fondation Grameen Crédit Agricole. Des exemples du Cambodge et d’autres pays ont souligné la nécessité de renforcer les capacités non seulement de l’IMF, mais aussi des assureurs.

Les catastrophes naturelles induites par le changement climatique et les aléas météorologiques perturbent les activités génératrices de revenus des IMF et de leurs clients et affectent de manière disproportionnée les femmes. Non seulement ils ont plus de difficulté à rembourser leurs prêts, mais ils sont également plus vulnérables après une catastrophe. Compte tenu de l’impact des catastrophes naturelles, l’assurance est progressivement adoptée comme un outil non seulement pour protéger leurs membres, mais aussi les IMF contre les mauvais remboursements causés par la perte de production ou d’actifs. La session mettra en évidence les facteurs de succès et les défis de l’inclusion de l’assurance agricole par les IMF soutenues par la Fondation Grameen Crédit Agricole. Des exemples du Cambodge et d’autres pays mettront l’accent sur la nécessité de renforcer les capacités non seulement de l’IMF, mais aussi des assureurs, y compris le flux des systèmes d’information et d’éducation en matière d’assurance, afin de créer de la valeur tant pour l’offre que pour l’assureur, ainsi que pour la demande. les participants et les bénéficiaires de façon responsable.

Edouard Sers, Directeur des risques, de la conformité et de l’impact sur le webinaire « Leçons apprises sur les stratégies ESG et d’investissement d’impact »

Organisé par InFiNe le mercredi 31 janvier 2024, ce webinaire portait sur les « Leçons apprises sur les stratégies ESG et d’investissement d’impact », et Edouard Sers était l’un des conférenciers.

L’objectif de ce webinaire était de partager les enseignements tirés du cours ESG & Impact Investing de l’école de Francfort et de sa mise en œuvre par des professionnels dédiés. Il s’adressait aux professionnels de la sphère de l’impact investing, mais aussi aux professionnels d’autres secteurs intéressés par l’ESG et l’impact investing.

 

BIOGRAPHIE DES CONFÉRENCIERS :

  • Anne Bastin, InFiNe, modératrice

 

  • Edouard Sers, Responsable Risques et Impact de la Fondation Grameen Crédit Agricole :

Dans le cadre de ses responsabilités, Edouard est membre du comité exécutif de la Fondation, supervise l’équipe des risques et coordonne l’élaboration des normes ESG et Impact à la Fondation. Il est également chargé de superviser les activités de conseil en investissement de la Fondation GCA pour le GCA Fund FIR. Auparavant, Edouard a dirigé les fonctions d’audit et de gestion des risques pour le réseau OXUS en Asie centrale et en Afrique, et a travaillé pendant de nombreuses années en tant qu’analyste de notation et responsable de la qualité chez Planet Rating dans plus de 30 pays. Edouard est diplômé de l’EM Lyon Business School et a débuté sa carrière en tant qu’auditeur externe dans le secteur bancaire pour PricewaterhouseCoopers.

  • Karl Richter, professeur à la Frankfurt School et cofondateur et directeur exécutif de Engage X :

Co-fondateur d’iSumio, qui crée des logiciels permettant aux organisations de calculer leur effet sur les personnes et la planète, tels que l’empreinte carbone et les conditions de travail. Directeur exécutif d’EngagedX, spécialisé dans le conseil, le leadership éclairé, le plaidoyer et le travail politique. Karl travaille à l’échelle internationale dans les secteurs privé, public et social. Entrepreneur expérimenté, dirigeant et dirigeant. Cours à temps partiel à la Frankfurt School of Finance and Management.

Auparavant, il a occupé pendant 12 mois le poste de chef de la recherche et des connaissances pour l’initiative de financement d’impact des ODD du PNUD (UNSIF), où il a dirigé des recherches visant à améliorer le cadre analytique de l’investissement d’impact social. membre du Groupe d’Experts de la Commission sur l’Entrepreneuriat Social (GECES) de la Commission européenne pour donner des conseils sur son initiative d’entreprise sociale; membre du groupe d’experts de l’OCDE sur l’investissement à impact social. Actuellement Senior Fellow du Finance Innovation Lab; et conseiller de plusieurs organisations.

Karl a été invité par des organisations de la société civile, des universités, des gouvernements et les médias à travers l’Europe, l’Asie et les États-Unis pour parler de l’investissement à impact social. Il a été conférencier invité aux universités d’Oxford et de Cambridge; a conseillé HM Treasury sur les réglementations européennes en matière d’investissement social; a été invité à soumettre des preuves pour un financement alternatif à la Commission parlementaire britannique sur les normes bancaires; a été invité par le Cabinet du Royaume-Uni à représenter le Royaume-Uni sur l’investissement social au niveau de l’UE; a été invité par le secrétaire d’État des États-Unis à être un panéliste lors du Forum mondial sur l’économie d’impact en 2012.

 

  • Claudia Dambax, Directrice des services consultatifs du Conseil et Directrice associée d’Innpact S.A. :

Elle possède une expérience approfondie de la structuration de fonds, des fonds (de partenariat public-privé), de la gestion de fonds opérationnels, de la gestion juridique de fonds, de la gouvernance d’entreprise et des conseils d’administration. Elle possède de l’expérience auprès d’une vaste clientèle, allant de clients privés, de particuliers très fortunés à des clients institutionnels, en passant par des institutions financières internationales et des institutions de financement du développement. Depuis 2005, elle travaille dans le secteur des services financiers dans le secteur privé au sein d’une société de gestion/AIFM et au niveau européen. Elle a géré des OPCVM et des fonds alternatifs (PE/VC, dette privée, immobilier). Claudia a une approche pratique et est passionnée par l’obtention d’un impact positif. Depuis 2010, elle se concentre sur la finance durable et la finance d’impact.

Avant de rejoindre Innpact, Claudia travaillait pour Sal. Oppenheim Asset Management, Deutsche Bank/Deutsche Asset Management et pour le Fonds européen d’investissement. Claudia a étudié la géographie humaine, l’administration des affaires, la planification urbaine et régionale à l’Université libre de Berlin (Allemagne) et à l’Université Wilfrid Laurier (Canada), qu’elle a combinée avec l’administration des affaires bancaires. En outre, elle détient des certifications en stratégie d’entreprise durable de la Harvard Business School, en investissement ESG et impact et en financement de l’adaptation au climat de la Frankfurt School of Finance & Management.

 

Karl a donné son point de vue sur le cours d’investissement ESG et impact. Claudia et Edouard ont expliqué pourquoi ils ont suivi cette formation, quelles leçons ils ont apprises et utilisées dans la pratique. Elle a été suivie d’une séance de questions et réponses.